J4 D3: TTNA 7-SUS 7->8-6

J4 D3: TTNA 7-SUS 7->8-6

DECOIFFER LA GIRAFE

Pas de temps à perdre, il ne reste que trois rencontres pour assurer le maintien et ce soir, peut être la seule chance qu’il nous reste.
Préparation physique hors norme pour l’équipe en passant par les alouettes ou mouettes (rues du fin fond du bout du bischheimois). Qu’importe la manière et les substances, il nous faut gagner.
Direction Schleithal pour ce qui devrait être notre rédemption. Début de rencontre et petit sourire, Cri-Cri d’amour décoiffe enfin la girafe. Puis plus rien, nous ne flairions que d’un bois et cela se sanctionna d’un 4/1. Restait plus que la momie’s et Bionic de masse pour alléger notre peine et notre souffrance avant les doubles. Pour Serge, l’homme biomasse, pas de souci, emballer c’est pesé. Après quelques amabilités et autres courtoisies, la momie’s défit quelques bandages pour se dégager les membres. J’ai encore l’image devant les yeux et force est de constater qu’une momie débandée, c’est moche. Donc sans contrainte d’aucune sorte, la momie’s nous décocha des tops somptueux pour la gagne. 5/3, il faut la jouer fine et essayer de prendre les deux doubles. Le Muppet’s en 1, fait fûhrer euh fureur (l’air du temps peut être) comme à son habitude. Pour la momie’s et le captain, il va falloir être exorable et ce qu’ils firent avec la manière. 5/5, une fois de plus, tout est encore possible. Petite faiblesse de notre loco à vapeur bionic de masse et Cri-Cri sourit à pleines dents enfin plus que trois, eh oui l’âge. 6/6, la tension est à son comble, on peut lire sur les visages, les stigmates du labeur déjà accompli et de la montagne qui reste à gravir. L’effort fut trop intense, la momié’s et le captain restèrent au pied de la montagne, accablés par le poids des ans et surtout d’un manque de réalisme pour le captain. Pour finir, grande désillusion et beaucoup de regrets. Nous ne nous attarderons pas sur le zéro pointé du captain qui à défaut de victoire n’assure pas le nul. Soyons sur des charbons froids pour cette fin de saison.

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One Comment

  1. On a fait récemment un reproche à la momie de ne pas répondre aux élucubrations d’après-match de notre cher cap’tain.
    Ne voulant pas entrer dans cette spirale ou joute verbale, qui ne servirait qu’à amuser la galerie,
    ma décision a été prise de mettre un peu de poivre-sel dans la marmite en évitant quelque émanations fétides qui pourraient atteindre quelques esprits mal orientés.
    Soit. Cette soirée à Schleithal était très intense, en accueil-politesse tout comme en suspicions.
    Effectivement l’enjeu fut vital pour les deux équipes et malheureuse à celle qui fautait.
    Donc le suspens dura jusqu’au bout de l’épreuve mais la 7 s’inclina non pas à la fin, mais durant tout le déroulement de la rencontre.
    Serge, notre locomotive, ne trouvant pas son habituel feeling, s’essouffla très vite, en sauvant l’essentiel de la mise.
    Cri-cri d’amore, revient, discret, inusable et rassuré. Enfin.
    Notre cap’tain…(long silence) magnifique dans le double, où même la momie, témoin direct des coups gagnants et irréels, habituellement méconnus de son palmarès délimité, ne peut que saluer son attitude auréolé de fertilité.
    Mais en simple, l’affaire se complique. Ah! si seulement notre capitaine aurait autant d’imagination à une table de ping que derrière son ordinateur. Je reste persuadé qu’il pourrait jouer en équipe 1. Mais entre les astres qui illuminent nos rêves les plus audacieux et notre bonne vieille terre, un vide et froid sidéral les différencient.
    De son côté, la momie, avec ou sans ses bandelettes, ne se retrouve pas encore devant Maât pour se faire juger et aborder
    le royaume d’Osiris. Le temps retiendra son souffle et appliquera sa patience à son égard.
    La momie n’a peut-être plus de dents, mais elle mord encore.
    D’ailleurs, les conseils du cap’tain pendant les échanges infructueux de la momie contre la seule personne féminine de l’équipe adverse furent assez ambigus : “faut jouer très désaxé sur son côté gauche mais en évitant son revers.” J’en déduis donc que le couloir entre son côté gauche et son revers peut laisser passer une balle de ping aux dimensions homologuées. (?)
    J’ai joué et j’ai remporté la 5ème manche. Mais mon expérience m’a interdit de m’aventurer sur ce côté gauche désaxé de peur de me prendre une grosse baffe du revers. Ah les feux de l’amour.
    Enfin, revenons à la réalité. Il nous reste 2 journées qui pourraient tourner en notre faveur, mais surtout nous sauver du purgatoire. Restons vigilent, ambitieux et soudé. N’oublions pas :
    “La force du loup c’est la meute”.
    A très bientôt pour la suite du feuilleton.

    La momie

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