La victoire à la Victoire.
C’est dans un contexte assez particulier que nous avons abordé cette rencontre contre Ergersheim, vendredi soir.
Une première mi-temps avant la 3ème. Plutôt curieux mais difficile de refuser une invitation de Serge et son RDV chez lui, en compagnie de la très charmante et pétillante Iris, qui joua la barmaid pour un soir.
Soit. Plein d’ambitions et de bulles dans le sang, nous nous engagions à ne pas décevoir notre cap’tain handicapé.
La rencontre commença mal avec Julien, impatient et en mal de compétitions qui signe une contre d’entrée et Cricri qui tombe avec mérite contre Gilbert Bonis, toujours sympathique mais qui garde un jeu et une stratégie qui reste encore et toujours d’actualité : poussé à la faute et bétonné.
Je croyais que le mur de Berlin était tombé.
Très vite nous raccrochions au score avec notre extra-terrestre de l’équipe : Serge la furie, Serge la folie, enfin notre piment d’Espelette, notre sel de l’Himalaya qui assaisonne notre jeu et conditionne notre équipe.
Donc Serge le grand chelem, Cricri 2 victoires et le double et pour terminer Julien et la momie, chacun une victoire.
Belle réussite sans prétention mais on ramène 3 points qui ouvrent un horizon plus serein et confortent notre maintien.
Sans Julien qui prit la route vers le sud (de l’Alsace) dont je remercie grandement sa présence, on s’est retrouvé dans l’antre des pongistes, à savoir la Victoire, pour festoyer comme il se doit, en pensant à nos 2 compagnons d’arme, absent pour la journée.
Rémy.
Au fait, Iris est la petite fille de Serge, qui à trois ans et demi et qui n’a même pas peur …des momies.