J6-D3-SUSTT 7 vs SARRE UNION 4 : 13-1

UNE SOIREE ORDINAIRE AVEC LA 7

Réunion d’avant match rituelle avec l’équipe, sauf que la mommie’s était coincée avec le père Noël qui lui
narrait ses déboires avec une grève perlée des lutins. Jacky quand à lui avait un problème avec son
traîneau, il avait oublié de changer les patins d’été en patins d’hiver. Pas grave, tout cela ne nous empêcha
pas de goûter quelques breuvages de Noël que Serge avait ramenés, accompagnés comme il se doit de
quelques amuses-bouches concoctés par la maîtresse de maison. Arrivés à la salle au grand complet avec
la présence très remarquée du président et de Cri-Cri d’Amour qui était en RTT mais on reviendra sur ces
deux personnages plus tard. HO HO HO, au vu de la feuille de match, c’était déjà Noël, mais, sachant que
le Père Noël est facétieux, je me méfiais des quatre 500 que l’on allait rencontrer. Mon intuition ne me fit
pas mentir, trois rencontres en cinq sets, une contre magistrale pour la mommie’s, un comportement
inexcusable d’un joueur adverse en fin de partie alors qui n’y avait plus d’enjeu. Afin de fêter dignement
cette belle victoire, direction au grès du vent (4 en vérité) vers un estaminet réputé. Après quelques
collations d’entrée, nous attaquâmes avec grand plaisir, les mets variés et bien sur très diététiques qui
étaient devant nous. Après la première bouchée, notre Cri-Cri d’Amour se leva brusquement pour
rejoindre les lieux d’aisances très vite suivi par Olivier. Après quelques minutes, m’inquiétant de leur
absence prolongée, j’allais les rejoindre. Je poussai la porte et le tableau qui était devant moi n’avait rien à
voir avec un tableau de Noël. Deux paires d’yeux se retournèrent vers moi, et au vu de mon air contrit,
comprirent rapidement que leur position pouvait porter à confusion et s’exclamèrent de concert qu’ils
pratiquaient le Heimlich. Dans mon cerveau quelque peut troublé, je me dis que cela devait être une
position du Kamasutra que je ne connaissais pas, faut dire que je me suis arrêté à la position 69, au delà,
la souplesse me manque. Pas de problème les gars, tout les goûts son dans la nature, et Cri-Cri
commençait sa nouvelle vie de retraité par de nouvelles expériences. Voyant que mon esprit tordu
s’égarait dans des zones très sombres, Olivier m’expliqua qu’en fait, Cri-Cri avait un aliment coincé dans
son gosier, et qu’il pratiquait un geste de secouriste sans grand résultat. Nous décidâmes d’appeler les
pompiers qui pratiquèrent une endoscopie avec leur lance à incendie. Curieux mais efficace. Après ces
péripéties, nous pûmes finir joyeusement notre repas. Encore une soirée très ordinaire de la 7. Merci à
Olivier pour son implication dans l’équipe et à Cri-Cri d’avoir contribué grandement à cette chronique qui
aurait été bien morne sans lui.

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